Le 24 novembre, nous voterons sur la plus grande extension routière depuis des décennies, qui prévoit d'élargir les tronçons concernés en « méga-autoroutes » de 6 à 8 voies. Loin de résoudre les enjeux de mobilité, ces projets porteront atteinte à la qualité de vie, à la nature et au paysage, et bétonneront de précieuses terres agricoles ainsi que des pans entiers de forêts.
Les extensions prévues sont le résultat d’une politique des transports dépassée. Les faits le montrent : plus de routes signifie plus de trafic et donc plus de bouchons. Les habitants et habitantes des villes et des communes concernées ne veulent pas d'une augmentation effrénée du trafic routier.